Atelier Annuel du projet C3R : réseau, ressource et résilience d’un arbre oublié, le corpus domestication, au service de la transition agro-écologique
Une bonne dose d’interdisciplinarité et de collégialité.
Une belle diversité d’acteurs à synergie participative.
Un temps de communication et d’échange à destination du public (où on apprend que les charrettes étaient pendues au sommet des cormiers du Maine-et-Loire pour signaler l’adultère, que l’eau-de-vie de corme parfume agréablement les gâteaux, et que la dormance des graines peut être levée à l’aide de fiente de poule)
Une visite de cormiers avec atelier phénologie, des rencontres, des questionnements partagés, des regards mis en commun, de la réflexivité…
Le tout aux fins de mieux connaître et de valoriser une espèce d’avenir pour la transition écologique.
Ma participation au sein du projet : mieux connaître l’histoire et les usages du cormier (ou sorbier) en Provence.
Photographies : Pauline Mayer de Boisgelin